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Mes autorisations de stationnement

Investiguer sur la chaine de gestion des autorisations de stationnement des taxis en France.

Problème investigué

A ce jour, les 12 000 gestionnaires d’autorisations de stationnement de taxis (ADS) ne disposent d’aucun outil informatique dédié pour tenir à jour un registre des ADS délivrées, à l’exception des plus importantes d’entre elles (préfecture de police de Paris, métropole de Lyon et ville de Marseille). Le recensement des ADS de 2016, piloté par la DSCR, a permis de mettre en lumière des pratiques archaïques (tenu de registres manuscrits) et des anomalies dans la gestion des ADS (ADS en exploitation non connues par les gestionnaires, ADS non exploitées, absence d’arrêtés pour l’attribution des ADS, etc.), principalement dues à la méconnaissance d’une réglementation ancienne et complexe. Alors même que la profession de taxi est réglementée, l’administration locale comme centrale, sont dans l’incapacité de donner une mesure exacte du nombre de taxis en circulation, et ne disposent pas de données sur leurs caractéristiques, ainsi que sur les titulaires et les exploitants de ces autorisations administratives. Ces informations leur sont pourtant indispensables pour piloter plus efficacement le secteur, et pour mettre en place des politiques de modernisation et de sécurisation plus ambitieuses.

Solution envisagée

L’investigation menée auprès des acteurs locaux du secteur a permis de confirmer l’existence de problèmes récurrents dans la gestion des ADS. Les gestionnaires d’ADS sont confrontés à des incertitudes sur la réglementation et les procédures administratives en vigueur pour la gestion courante de ces autorisations. Dans les faits, cette confusion provoque une hétérogénéité des pratiques de la part des gestionnaires et des préfectures. Par ailleurs, la phase d’investigation a permis d’aboutir à la conclusion que les conducteurs de taxis, usagers de ces procédures, devraient impérativement être intégrés dans le dispositif cible.

La phase d’investigation a permis de dresser une première liste des fonctionnalités prioritaires, pour répondre aux besoins des utilisateurs finaux et des parties prenantes :

Interruption des travaux après la phase d’investigation

La phase d’investigation n’a pas abouti au lancement de la Startup d’Etat. Une réflexion doit être menée à ce sujet pour un éventuel lancement en 2021.

L'équipe actuelle